mercredi 18 juin 2008

°2°°°

La sonnerie de mon téléphone me réveille tôt ce matin. Marc, un ami de la fac – de lettres - vient de m’envoyer un texto. Il me demande si je suis libre pour une séance de cinéma à 16h. Evidemment, je lui réponds positivement et propose de le prendre chez lui, juste avant. Je me rendors pour me réveiller, de nouveau par la faute de mon portable. Je devrais l’éteindre pour la nuit. Cette fois-ci, ma « petite amie » m’annonce qu’elle aimerait rompre. Très bien, deux mois que l’on est ensemble mais aucun rapport sérieux, sexuels, j’entends. Nous nous entendons bien, mais j’ai besoin de plus d’intimité et elle s’oppose aux rapports. Dommage. Elle est plutôt attirante. Bon, la rupture va me permettre de me tourner vers de nouveaux horizons, de nouvelles rencontres. Je décide de me lever, n’ayant plus le courage de me rendormir. Immédiatement, comme à l’accoutumée, je me précipite dans la salle de bain afin de me laver. Je reste longtemps, un gros quart d’heure, sous la douche. Je profite de l’absence de mes parents pour utiliser le maximum d’eau chaude. Il est maintenant midi et je prends la décision de m’offrir un sandwich dans le kebab – plutôt luxueux pour un restaurateur turc – du quartier. Dans les escaliers, je croise ma voisine d’une trentaine d’années. Une femme brune à l’allure fragile mais pleine de vie. Elle vit en couple et à une petite fille. Enfin bref, elle me fait beaucoup d’effet, mais je n’ose pas l’approcher, elle m’intimide énormément. Dans la rue, je sais que mon look « slim-vintage-cheveux-broussailleux-mal-coiffés-sexy-mystérieux » ne laisse pas indiffèrent les jeunes adolescentes que je croise. Et j’en joue ; faire craquer les filles me demande peu d’effort. Je rentre dans le petit restaurant et me commande le plat du jour. J’apprécie de rester ici, voir les gens passer sur les trottoirs ; un véritable défilé de mode - et, parfois, de « miss » plutôt mignonnes. Il doit me rester 2/3h avant de rejoindre Marc. Je me ballade tranquillement dans le square jouxtant mon quartier. J’y rencontre quelques connaissances, des potes de l’université, essentiellement. Je retourne ensuite chez moi et me pose pour finir quelques devoirs, sans trop d’importance. 15h, il est temps que j’y aille. Marc loge dans un studio avec sa mère, à l’autre bout du quartier. Je vais sûrement arriver en avance, mais je devais voir un « truc » avec lui depuis pas mal de temps et je profiterai donc de l’occasion. Dans mes souvenirs, le studio est plutôt spacieux et assez « classe » sans être vulgaire. Je me trouve sur le perron et recherche le nom de famille de la mère de Marc sur les nombreuses sonnettes. Lévy, je l’ai trouvé et enclenche le mécanisme. Je dois dire que je n’ai jamais eu l’occasion de la rencontrer. Toujours absente. Là, surprise, c’est elle qui me répond et m’autorise à monter. Arrivé devant la porte, je frappe. Je m’attends à voir une belle femme ; Marc ne cache pas son admiration pour sa mère. Elle ouvre. En effet, je constate que pour ses 47 ans, elle est assez bien conservée. Des cheveux blonds naturels – il me semble – et un visage fin et clair faisant ressortir de magnifiques yeux verts. Elle m’invite à pénétrer dans le studio. L’ambiance est assez lourde. La décoration n’a pas changé depuis ma dernière visite.
« -Excusez-moi, Marc est-il dans le coin ?
-Ah, non. Je suis désolée. Il a prévu de rentrer juste avant 16h. Vous devez aller au cinéma tous les deux, c’est bien ça ?
-Oui, nous allons voir « Les Témoins » de Téchiné.
-Je vois. Les critiques qui me sont parvenues étaient plutôt positives.
-Je l’espère. »
Elle parle d’une voix claire, douce, agréable. Elle reprend la conversation et discute de mon allure.
« -J’apprécie tes vêtements et ton look. Et puis, il te va assez bien. Marc est plus sérieux, moins extravagant quant à son apparence. Selon lui, ça lui permet de ne pas se faire remarquer.
-Merci. J’avoue prendre soin de mon apparence, même si j’en ai pas vraiment l’air. »
Elle laisse échapper un rire léger, loin d’être désagréable. Aussi, elle sourit souvent, et j’aperçois deux rangées de dents blanches éclatantes. Elle prend soin d’elle, elle est coquette.
« -Tu peux rester ici en attendant Marc, si tu le souhaites.
-Vraiment ? Je n’attendais pas mieux. C’est qu’au moment de rentrer dans le hall de l’immeuble, il s’est mis à pleuvoir. Ressortir sous la pluie, ne serait pas super.
-Il n’y a aucun problème, tu peux rester ici jusqu’à son retour. Tu veux boire quelque chose ? De l’eau ?...
-Volontiers. Un verre d’eau. Merci.
-Je reviens. »
Comme elle se retourne vers la cuisine, je peux admirer un superbe corps, un fessier accueillant. Elle est vêtue d’un pantalon en toile blanc et d’une chemise brune de soie fine. Et visiblement sa lingerie est plutôt classe et sexy. Vraiment, elle paraît beaucoup plus jeune que son âge réel. Elle revient avec les verres d’eau et quelques biscuits, le tout posé sur un plateau moderne en argent. Le sol du studio est constitué d’un superbe parquet et l’on trouve de belles boiseries au niveau de la cheminée. Nous nous asseyons sur les canapés en cuir du salon. Je m’attends à ce qu’elle s’affaisse dans le fauteuil en cuir opposé, mais elle se pose à mes côtés, ce qui ne me déplait pas. Elle place le plateau sur la table basse au centre du salon, se penche et me dévoile ainsi sa croupe généreuse. Une pulsion instantanée et je la prenais de mes deux mains. Il en a fallu de peu. La mère de Marc est vraiment excitante. Tellement que je ne peux me contrôler et une vive érection déforme mon jean, qui par malheur est un slim, donc très serré au niveau de mes entrecuisses.
« Je dois vous dire que vous ne faîtes pas votre âge.
-J’en suis consciente, me répond elle avec un sourire malicieux »
Je n’en peut plus. Je me lâche complètement et me jette sur elle. Nous sommes assis côte à côte. Je la prends par la taille. Je ne rencontre aucun geste de résistance de sa part pour le moment. Nous nous regardons longtemps dans les yeux. J’approche progressivement mon visage du sien. Nos lèvres sont sur le point de se toucher quand elle tourne brutalement sa tête ainsi que son corps. Elle repousse mes bras qui l’enlacent encore. Elle porte une main sur sa bouche et quitte furtivement la pièce. Je m’en veux de n’avoir su contrôler mes instincts. C’est la mère d’un ami proche, après tout. Je lui dois du respect et j’ai cruellement manqué de tact. Je pars la rejoindre pour m’excuser. Je la cherche dans la cuisine, en vain. J’essaye donc les autres pièces. J’arrive près de sa chambre. J’ai une montée d’adrénaline. Je l’aperçois, elle, en sous vêtements, étendue sur son lit. Je m’approche. Elle se redresse immédiatement.
« -Je suis prête, dit elle avec une joie non-dissimulée »
Pourquoi m’a-t-elle repoussé il y a un instant ? Je ne comprends pas, mais ne cherche pas à comprendre non plus. C’est une invitation aux plaisirs charnels. Je ne peux résister, qui puis est avec une femme expérimentée aussi charmante.
Elle ne cherche pas à profiter de l’instant et déboutonne avec rapidité mon jean. Je me retrouve en boxer. Elle me demande de m’asseoir à ses côtés. Elle enlève mon haut, puis me caresse le torse de ses mains douces. Je me laisse manipuler pour le moment, je ne tente rien sur sa personne. Ce n’est pas le moment de la perturber. Progressivement elle descend ses mains sur mes cuisses. Elle touche mon sexe à travers le tissu de mon boxer. Je me retrouve entièrement nu, livré aux mains d’une femme âgée de 47 ans qui en paraît 38. Elle entame, de ses longues mains, la masturbation de mon organe sexuel. Elle fait ceci avec une douceur merveilleuse. Elle passe le creux de sa main sur mon gland et le touche de cette façon. Elle, est toujours en lingerie. Des sous vêtements en dentelle, blancs. Elle me bascule sur le lit. Je suis étendu sur le dos. Elle tend mon pénis vers le plafond et continue de le masturber lentement. De son autre main, elle caresse mes réserves de semence puis descends vers mon anus. Elle fait circuler son doigt sur ce chemin si délicat. Ensuite, elle rapproche ses lèvres à proximité de mon sexe dressé. Elle les pose dessus, sur mon gland qu’elle aspire lentement. Elle dissimule complètement mon sexe dans sa bouche. Entièrement ! Elle accélère le mouvement de bas en haut. Elle suce goulûment avec rapidité. C’est une fellation divine. Si bien que je ne peux me contrôler. Je la préviens mais elle continue. Ma semence arrive et sa bouche englobe encore totalement mon sexe. Elle reçoit une quantité impressionnante de sperme dans son gosier. Elle manque de s’étouffer et recrache toute ma semence sur mon gland. Elle s’excuse, alors que c’est de ma faute. Même avec plein de sperme autour de la bouche, elle est toujours aussi belle. Maintenant, c’est à mon tour de lui faire plaisir. Je commence par la prendre au niveau du bassin et fait en sorte qu’elle s’allonge à l’endroit où j’étais il y a peu. Allongée, je lui retire délicatement son soutien-gorge, de grande taille. Ses seins sont étonnamment fermes et volumineux pour son âge. Je les malaxe lentement, je les presse, je caresse ses magnifiques tétons pointant joliment vers moi. Je fais circuler ma langue tout autour de ses mamelles pour ensuite – littéralement – les sucer. Je continue de prendre ses deux globes à pleines mains. J’adore, ils sont exceptionnels, proportionnés idéalement. Nous ne parlons pas, seuls nos gémissements troublent le silence ambiant. Pendant que je joue avec ses lobes de chair, nous nous embrassons sensuellement. Ses lèvres sont fines et douces, une bouche de grande classe que je me fais un plaisir à triturer. Une de mes mains s’aventure entre ses hanches, sa culotte en dentelle est toujours en place. Cette dame mouille incroyablement. Je porte ma main près de mon visage afin de sentir ce liquide « mûr ». C’est un plaisir, jamais je n’ai senti une telle odeur. J’approche ma bouche, ma langue près de cette partie si incroyable. Je la lèche à travers son sous-vêtement. Elle se cambre de plus en plus, preuve de sa sensibilité. Je lui fais plaisir. Je baisse lentement sa culotte, lui retire et la porte à son visage, alors elle pousse un gémissement de plaisir équivoque. Je continue. Je replace ma tête entre ses hanches et entame un cunnilingus. Je passe ma langue partout jusqu’à trouver le point le plus sensible, alors j’insiste, je redouble d’effort pour lui donner un maximum de plaisir. Ses petits cris deviennent plus forts et stridents. Enfin, elle explose littéralement et son jus se projette sur mon visage. C’est à ce moment que le bruit d’une clé dans une serrure se fait retentir. Elle a immédiatement compris que c’est son fils, étant donné que j’ai rendez-vous avec lui pour aller au cinéma.
Ainsi, elle se rhabille prestement, tout comme moi. Nous nous servons des serviettes à disposition pour débarbouiller nos visages dégoulinant de semences. Nous sommes légèrement débraillés, mais pas assez pour se rendre compte que l’on était nues comme des vers il y a instant. Par chance, l’appartement est assez grand et nous pouvons nous rendre dans la cuisine sans croiser Marc.
Et nous nous installons comme si de rien n’était, assis sur les tabourets du bar, deux verres posés sur celui-ci.
« -Il y a quelqu’un ?
-Oui, mon chéri, nous sommes dans la cuisine. »
Marc rentre dans la cuisine et se réjouit de me voir déjà chez lui.
« -Super, nous serons, pour une fois, à l’heure pour la séance de ciné. Tu es là depuis combien de temps ?
-Oh, pas longtemps. Je suis arrivé il y a 5 minutes. Nous bavardions.
-Oui, et ton ami m’a dit que vous alliez voir un film d’auteur ? Ca ne te ressemble pas, remarqua la mère de Marc.
-Il y a un début à tout, tu sais…
-Je sais bien…
-Bon, je fais un tour au toilette et on y va, conclut Marc »
Nous restons silencieux et évitons le regard de l’autre. Nous avons été stupides et nous nous en rendons compte. Marc revient. Une expression inattendue barre son visage.
«-Tu es là depuis combien de temps, en réalité ?
-Je suis arrivé 5 minutes avant que tu ne reviennes.
-D’accord. Alors, pourrais tu m’expliqué ce que fait ta ceinture, celle que tu exhibes sans arrêt, sur le lit de mère, à proximité d’une culotte de celle-ci ? »
Il ne semble pas choqué, ni outré et même une certaine malice se dessine sur son visage.
« -Laisse le tranquille, Marc. Il est arrivé en avance, je les trouvé séduisant, je n’ai pas su résister à son charme. Je l’ai emmené dans ma chambre. Nous n’avons pas été aussi loin que tu ne le penses, nous nous sommes arrêtés aux préliminaires.
-Tu es quand même une putain de trainée. A ton âge...
-Tu n’as pas le droit de me traiter de trainée, ni de putain ! »
Sur le coup, elle éclate en sanglot. Et moi, j’essaye de m’excuser calmement envers Marc. Lui, s’excuse tant bien que mal auprès de sa mère, mais en vain. Elle le prit de déguerpir. Et nous sortons pour nous rendre au cinéma.
Je suis quand même étonné que nous allions toujours au cinéma après ce qui vient de se passer. Mais Marc évite de parler de ce sujet. Sur le trajet, nous discutons de la fac, de musique, comme si de rien n’était. Nous achetons les tickets au guichet et nous installons aux meilleures places car la salle est quasiment vide, soit dans le fond. Les bandes-annonces défilent, toutes plus niaises les unes que les autres. Enfin, le film démarre. Le synopsis du film :
Paris, été 1984.Manu débarque à Paris, où il partage la chambre de sa soeur Julie dans un hôtel modeste. Il fera la connaissance d'Adrien et nouera une amitié chaste et joyeuse avec ce médecin quinquagénaire, qui lui fera découvrir le style de vie de son milieu.Au cours d'une balade en bateau, Adrien présentera à Manu Sarah et Mehdi, un couple de jeunes mariés qui vient d'avoir son premier enfant.Une passion amoureuse imprévue et l'irruption de l'épidémie du sida, encore perçue dans les médias et l'imaginaire collectif comme une peste moderne et honteuse vont bouleverser le tranquille agencement de ces destins particuliers. Chacun va devenir acteur et témoin d'un drame contemporain, où ceux qui ne mourront pas ressortiront peut-être plus forts, mais en tout cas pas indemnes.
Nous avons le droit, tout au long du film à des scènes de sexe plutôt explicites. Ainsi, nous découvrons les seins d’Emmanuelle Béart et les postérieurs de Sami Bouajila et Johan Libéreau. Je dois avouer avoir bandé lors des ébats sexuels de Béart malgré le sujet grave du film. Elle a un corps vraiment magnifique. Toujours est-il que le film peut faire naître des pulsions refoulées. Il en a la vocation.
« -Certaines scènes sont torrides, chuchote Marc
-A quelles scènes penses-tu ?
-La première rencontre entre les deux hommes, répond il. »
Je suis interloqué. Je ne m’attendais pas à cette scène-ci. Ainsi, dans la continuité de l’ambiguïté latente, Marc approche sa main près de mon entre-jambe. Il empoigne ma partie génitale à travers mon jean. Je ressens la virilité d’un homme mais aussi la douceur d’une femme, d’une mère plus particulièrement. Je ne sais pas ce qui arrive à Marc, à moi non plus, d’ailleurs. Je ne peux m’empêcher de bander, dur en plus. Il le sent et glisse sa main dans mon boxer. Il me masturbe mais l’étroitesse de mon jean empêche de plus grandes « manœuvres ». Alors, je me déboutonne discrètement et remonte mon boxer pour laisser s’échapper ma verge. Il la ressaisit et recommence donc la masturbation. Nous sommes seuls dans cette rangée et personne n’est derrière nous. Si bien que nous profitons pleinement de la situation. La main de Marc est plus forte. C’est une autre sensation, toute aussi excitante. Après quelques minutes de masturbation, il pose ses lèvres sur mon sexe dressé, lèche mon gland rougi, l’aspire et joue avec mes couilles. Il entame ensuite une longue fellation. Jamais je ne me suis fait sucer par un homme et je le regrette. Marc suce aussi merveilleusement que sa mère. Pendant la fellation, il n’hésite pas à explorer mes autres orifices. Il caresse mon anus et rentre un doigt ou deux pour faire augmenter mon plaisir. Bientôt, j’explose de quatre ou cinq secousses et j’arrose le visage de Marc ainsi que nos sièges respectifs. Nous nous embrassons langoureusement. Il me repousse tendrement :
« -A ton tour, maintenant.
-Marc, je suis désolé. Je ne peux pas.
-Très bien. Tu préfères ma mère.
-Non, tu es parfait. Mais je refuse. Je ne suis pas homo.
-Etonnant… Tu n’as pas bronché.
-Oui, mais…
-Laisse tomber, j’ai compris »
Le générique de fin fait son apparition. Nous sortons tranquillement de la salle. Aucun mot sur la fellation. Je raccompagne Marc chez lui. Arrivé au bas de l’immeuble, il me propose de monter pour boire un coup. J’accepte volontiers, surtout dans le but de voir sa mère. Nous rentrons dans l’appartement, c’est elle qui nous ouvre. Elle affiche un sourire, une joie de vivre, elle est décontractée comme si les évènements de cet après midi ne s’était jamais déroulés. Elle nous propose de prendre l’apéro dans le salon. Nous la suivons. Je remarque qu’elle a changé de vêtements. Ceux-ci sont nettement plus sexy. Moi et Marc nous asseyons sur le divan pendant qu’elle part chercher le vin et les verres. Elle apporte le plateau mais à notre grande surprise, celui-ci ne contient ni verres ni alcool. Posés sur le plateau, il y a un tube de gel lubrifiant, des préservatifs, deux ou trois godes de formes étranges et d’autres jouets sexuels farfelues. Je me retourne vers Marc, m’attendant à voir un visage outrée et choquée. Mais celui-ci semble tout excité. Ainsi, je le deviens à mon tour. L’issue de cette soirée est implacable.

La suite de cette soirée dans peu de temps…

°1°°°

Les cours, d’une façon générale, sont, pour moi, d’un ennui mortel. En temps normal, soit je m’endors, soit je suis inconscient : quelle perte de temps !
Le cours d’espagnol ne déroge pas à la règle. Les études de documents sont encore plus rébarbatives que les activités pratiquées dans d’autres matières. De plus, l’année de première est, en espagnol, la pire selon les anciens lycéens.
Je me trouve donc en première, dans une ville moyenne au temps habituellement maussade. Mes résultats ne sont pas médiocres, simplement je suis un glandeur. Je suis assez bien intégré : je suppose faire partie du « groupe » le plus branché du lycée, mais tout est relatif. Nous reflétons la jeunesse décadente qui fume, boit à outrance, qui se drogue, parfois…
Même si j’ai un physique avantageux, je compte peu de vraies relations amoureuses à mon actif. Et, parmi celle-ci, deux seulement m’ont épanouit sexuellement.

Nous nous dirigeons, avec quelques amis, vers le lycée. Je n’ai que 2h d’espagnol ce matin.
« Vous savez c’qu’on va foutre en espagnol, ce matin ?
-Aucune idée
-Attendez. Si, la prof a parlé d’un film. Je sais plus lequel. Sûrement un Almodovar.
-Tu connais d’autres réalisateurs espagnols toi ?
-Je crois que j’vais encore me poser dans le fond de la classe. J’ai pas vraiment dormi cette nuit ; j’ai une putain de migraine. »
Nous arrivons aux abords du lycée. Nous saluons quelques connaissances. Je parle avec des amies avant de rentrée. Je sens que je ne suis pas indifférent pour l’une d’elles. Je feins de ne pas le savoir et la taquine légèrement. Nous rentrons en classe et je m’installe, comme je l’ai prévu, au fond de la salle. La fille me suit et, au moment de s’asseoir, je pose une main sur son cul. Elle réagit, mais positivement, voir malicieusement…
Notre professeur d’espagnol est proche de la cinquantaine. Ce n’est pas une belle femme, mais elle a conservé un corps doté de très beaux atouts. Malgré tout, je n’ai jamais pensé à elle dans des positions obscènes.
Mme. Dolin, c’est son nom, nous apprend que nous allons visionner un énième long-métrage d’Almodovar. Selon elle, les films espagnols nous permettent de retenir des tournures simples et nous faciliter l’expression. Elle met en route le DVD et plonge la salle dans l’obscurité qui n’est plus qu’éclairée que par l’éclat de l’écran de télévision.
Je suis seul avec Inès au dernier rang. Je ne cesse de la regarder : une fille appétissante. Elle est brune, une frange, a des yeux bleus malicieux, une bouche fine. Son corps est surmonté d’une poitrine plus qu’acceptable, d’un fessier à damner un saint. Je donnerai tout pour pouvoir parcourir les courbes de ce corps, toucher sa peau douce et ses attributs naturels. Je ne peux m’empêcher de la toucher. J’approche ma main de son visage, lui caresse les cheveux. Elle me dévisage, rapproche son visage du mien, sa bouche de la mienne, nos lèvres s’effleurent, se cherchent. Nous stoppons immédiatement : j’ai senti que la prof nous observait de son bureau. Inès le remarqua elle aussi. Toute la classe semblait absorbée par le film, excepté trois personnes : moi, ma compagne du jour et la professeure d’espagnol. Celle-ci se lève de derrière son bureau, fait semblant de parcourir la classe, de surveiller les élèves. Mais, à ma grande stupeur, elle s’assoit sur la chaise vide à mes côtés. Inès est surprise, tout comme moi. Mme. Dolin commence à me parler, à voix basse, de sorte qu’Inès ne puisse pas entendre :
« Je sais très bien que tu n’es pas intéressé par mes cours mais ai au moins la décence de ne pas draguer et flirter pendant ceux-ci.
-De quoi parlez-vous, madame ?
-Ne fais l’imbécile, je t’ai observé avec Inès.
-Excusez-moi, je ne recommencerai plus »
Je n’osais pas être insolent avec Mme. Dolin, tous les élèves la respectait, mais pas par crainte. Tout d’un coup, je senti qu’une main se posait sur ma cuisse et remontait doucement vers le haut, vers mon entrecuisse. Je me tournais vers Inès, pour lui demander d’être plus discrète, mais celle-ci était captivée et ses deux bras étaient croisés sur la table. Instinctivement, avec stupeur, étonnement, mais aussi dégout, je me tournai de l’autre côté, vers Mme. Dolin. Son bras se trouvait en dessous la table et ses yeux étaient remplit de malice. Sa main s’agitait aux abords de mon sexe. De légères secousses dans mon caleçon, tout cela m’excité.
« Que faites-vous, madame ?
-Si tu m’autorises à participer, je veux bien que tu fasses des cochonneries pendant mon cours.
-Mais vous êtes ma professeure d’espagnol, nous ne pouvons pas.
-Ce ne sont que des gestes innocents.
-Pas si innocents que ça.
-Tu sais, j’ai peut-être presque 50 ans mais je suis encore en forme… »
Une bosse nette se formait et Mme. Dolin empoignait mon sexe à travers le tissu de mon jean. Ses mains étaient agiles et ses doigts effleuraient le bout de ma verge. D’un regard, je balayais la salle, mais personne ne se doutait de ce qui se tramait dans mon coin. La sonnerie d’interclasse retentit mais nous ne sortons pas, nous ne sommes qu’au milieu du film. La femme mûre assise à mes côtés continue toujours ses caresses. Mon sexe est tendu au maximum et aimerait bien être libéré de la pression du sous-vêtement. C’est alors que Mme. Dolin, d’une seule main, déboutonne, un par un, mon jean. Inès ne s’est pas encore rendu compte des attouchements de notre professeure. Mme. Dolin baisse progressivement mon caleçon. Puis libère totalement ma verge turgescente. Elle l’empoigne de sa main chaude et, rapidement, un léger filet de semence lubrifie quelque-peu mon frein. Je ressens une certaine expérience. Elle me décalotte avec soin et entreprend une masturbation lente et excitante. Elle se sert de son autre main pour masser, malaxer mes testicules.
« Huuuuuumm…
-Moins fort chéri, on risquerait de t’entendre. Je te félicite, tu es très bien monté.
-Merci, madame, vous me soulagez.
-C’est bien le but. »
Elle accélère le va-et-vient tout en prenant soin de rester discrète. D’ailleurs, Inès s’est tournée furtivement vers moi sans rien remarquer. Je sens l’éjaculation arriver, alors Mme. Dolin redouble de vitesse. J’arrose sa main expérimentée de mon abondante semence blanche. Elle sort un mouchoir en tissu de sa poche et s’essuie soigneusement. C’est elle qui réajuste mon caleçon et mon jean. Elle se lève et rejoint son bureau, comme si de rien n’était. Je suis encore troublée par ce qui vient de se passer. Il reste 10 minutes avant la fin du film.
La musique du générique retentit, les rideaux sont ouverts et la pièce retrouve toute sa luminosité naturelle. Mme. Dolin nous autorise à quitter le cours en avance. Je sors tranquillement de la classe au près d’Inès quand notre professeure m’interpelle.
« Xavier, j’aimerais te parler. J’en ai assez que tu ne fasses rien, sinon t’amuser, pendant mes cours. A tout à l’heure, Inès. »
Je me doute que ce n’est pas la vraie raison et je me fais une joie de rester. Même si je préférais Mme. Dolin dans l’obscurité ; elle est moins excitante au grand jour. Elle referme la porte avec précipitation, mais ne la ferme pas à clef.
« Prend une chaise, ça risque de prendre un petit moment. »
Je suis étonné, il semblerait qu’il ne s’est jamais rien passait. Son ton n’est plus le même. Je m’assois face à son bureau. Elle se lève, s’approche du porte-manteau. Elle retire son haut, un pull épais de laine noire, puis son pantalon de toile, qui laisse apparaître de belles jambes et des cuisses quasiment parfaites. Je remarque qu’elle cache bien son jeu. À 50 ans… Elle se rapproche de moi, se pose sur le rebord du bureau. J’ai le visage à 15 centimètres de son entre-jambe.
« C’est à ton tour de me faire plaisir.
-Mais, je ne peux pas. Nous sommes allés trop loin.
-Arrêtes tes bêtises, nous en avons envie tous les deux. »
Hésitant, je n’ose pas faire le moindre geste. Alors elle attrape mes mains et les pose sur ses cuisses. Mes mouvements sont encore fébriles mais elle me force à être plus entreprenant. Je passe une de mes mains sur sa culotte légèrement trempée. Je la caresse à travers le tissu et je devine un large vagin aux lèvres accueillantes. Je retire délicatement la culotte. Cette fois-ci, le tissu ne protège plus l’intimité de Mme. Dolin et mes doigts sont en contact direct avec sa chatte mouillée. Je la prie d’écarter plus amplement ses cuisses pour que je puisse vaquer à mes occupations plus librement. Je place mon visage devant le sésame et le titille avec le bout de ma langue. J’entends ses premiers gémissements : Mme. Dolin est d’une sensibilité évidente. J’enfouis ensuite totalement mon visage pour, littéralement, bouffé sa chatte. Terriblement excitée, Mme. Dolin attrape mes cheveux et les tire d’une force déconcertante. Malgré son âge avancé, elle a conservé un sexe appétissant. Je triture son précieux, je déforme ses lèvres, je suis excitée à l’idée de faire jouir ma prof. Elle me prévient, elle va bientôt jouir. En un temps éclair, je suis inondé de semence féminine. C’est alors qu’elle prend le même mouchoir que pour mon éjaculation pour nettoyer tendrement mon visage. Nos semences mélangées. Elle s’allonge sur son bureau, porte le mouchoir en tissu près d’elle et inhale les odeurs, les parfums de nos semences.
J’ai besoin d’aller encore plus loin avec elle. Je grimpe à mon tour sur le bureau. Je l’embrasse vigoureusement tout en la caressant. Je passe ma main sous son haut gris à la recherche de ses seins. Pour me faciliter la tâche, je la déshabille entièrement. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont volumineux, un peu tombants, mais encore assez fermes et élastiques. Je pose mes mains sur ses deux énormes masses de chairs, les soupèsent de mains aguerries. Je suce ses pointes brunes. Je suis comme un enfant qui découvre un super jouet.
Tout d’un coup, quelqu’un frappe à la porte de la classe. Surpris tous les deux, nous stoppons nos gestes et nous regardons avec crainte. De nouveaux coups. La poignet est actionné, la porte s’ouvre progressivement. C’est Inès. Elle nous regarde, incrédule, avec stupeur. Elle porte sa main devant sa bouche. Moi sur la poitrine de Mme. Dolin totalement nue.
« Ne reste pas là, sans rien faire, Inès. Viens donc nous rejoindre.
-Je te cherchai, Xavier.
-Ce n’est pas ce que tu crois.
-C’est quoi alors ? Tu baises une femme, notre prof, de 50 ans. Tu me dégoutes. »
Elle se précipite dans les couloirs, je suis foutu. Ma réputation est foutue.

Pour évacuer ma rage, je baiserai, je sodomiserai comme une brute Mme. Dolin, ma prof d’espagnol.

Présentation

Ce blog publiera mes histoires érotiques personnelles mais vos contributions seront les bienvenues. Dans mes propres histoires, j'essaye de privilégier le scénario même si j'accorde une place prépondérante à la qualité de l'écriture. Sachez que mes choix concernant vos histoires seront assez exigeants. Mais je ne vous donne aucune contrainte, la création est libre ; les textes n'en seront que plus inventifs.