mercredi 18 juin 2008

°1°°°

Les cours, d’une façon générale, sont, pour moi, d’un ennui mortel. En temps normal, soit je m’endors, soit je suis inconscient : quelle perte de temps !
Le cours d’espagnol ne déroge pas à la règle. Les études de documents sont encore plus rébarbatives que les activités pratiquées dans d’autres matières. De plus, l’année de première est, en espagnol, la pire selon les anciens lycéens.
Je me trouve donc en première, dans une ville moyenne au temps habituellement maussade. Mes résultats ne sont pas médiocres, simplement je suis un glandeur. Je suis assez bien intégré : je suppose faire partie du « groupe » le plus branché du lycée, mais tout est relatif. Nous reflétons la jeunesse décadente qui fume, boit à outrance, qui se drogue, parfois…
Même si j’ai un physique avantageux, je compte peu de vraies relations amoureuses à mon actif. Et, parmi celle-ci, deux seulement m’ont épanouit sexuellement.

Nous nous dirigeons, avec quelques amis, vers le lycée. Je n’ai que 2h d’espagnol ce matin.
« Vous savez c’qu’on va foutre en espagnol, ce matin ?
-Aucune idée
-Attendez. Si, la prof a parlé d’un film. Je sais plus lequel. Sûrement un Almodovar.
-Tu connais d’autres réalisateurs espagnols toi ?
-Je crois que j’vais encore me poser dans le fond de la classe. J’ai pas vraiment dormi cette nuit ; j’ai une putain de migraine. »
Nous arrivons aux abords du lycée. Nous saluons quelques connaissances. Je parle avec des amies avant de rentrée. Je sens que je ne suis pas indifférent pour l’une d’elles. Je feins de ne pas le savoir et la taquine légèrement. Nous rentrons en classe et je m’installe, comme je l’ai prévu, au fond de la salle. La fille me suit et, au moment de s’asseoir, je pose une main sur son cul. Elle réagit, mais positivement, voir malicieusement…
Notre professeur d’espagnol est proche de la cinquantaine. Ce n’est pas une belle femme, mais elle a conservé un corps doté de très beaux atouts. Malgré tout, je n’ai jamais pensé à elle dans des positions obscènes.
Mme. Dolin, c’est son nom, nous apprend que nous allons visionner un énième long-métrage d’Almodovar. Selon elle, les films espagnols nous permettent de retenir des tournures simples et nous faciliter l’expression. Elle met en route le DVD et plonge la salle dans l’obscurité qui n’est plus qu’éclairée que par l’éclat de l’écran de télévision.
Je suis seul avec Inès au dernier rang. Je ne cesse de la regarder : une fille appétissante. Elle est brune, une frange, a des yeux bleus malicieux, une bouche fine. Son corps est surmonté d’une poitrine plus qu’acceptable, d’un fessier à damner un saint. Je donnerai tout pour pouvoir parcourir les courbes de ce corps, toucher sa peau douce et ses attributs naturels. Je ne peux m’empêcher de la toucher. J’approche ma main de son visage, lui caresse les cheveux. Elle me dévisage, rapproche son visage du mien, sa bouche de la mienne, nos lèvres s’effleurent, se cherchent. Nous stoppons immédiatement : j’ai senti que la prof nous observait de son bureau. Inès le remarqua elle aussi. Toute la classe semblait absorbée par le film, excepté trois personnes : moi, ma compagne du jour et la professeure d’espagnol. Celle-ci se lève de derrière son bureau, fait semblant de parcourir la classe, de surveiller les élèves. Mais, à ma grande stupeur, elle s’assoit sur la chaise vide à mes côtés. Inès est surprise, tout comme moi. Mme. Dolin commence à me parler, à voix basse, de sorte qu’Inès ne puisse pas entendre :
« Je sais très bien que tu n’es pas intéressé par mes cours mais ai au moins la décence de ne pas draguer et flirter pendant ceux-ci.
-De quoi parlez-vous, madame ?
-Ne fais l’imbécile, je t’ai observé avec Inès.
-Excusez-moi, je ne recommencerai plus »
Je n’osais pas être insolent avec Mme. Dolin, tous les élèves la respectait, mais pas par crainte. Tout d’un coup, je senti qu’une main se posait sur ma cuisse et remontait doucement vers le haut, vers mon entrecuisse. Je me tournais vers Inès, pour lui demander d’être plus discrète, mais celle-ci était captivée et ses deux bras étaient croisés sur la table. Instinctivement, avec stupeur, étonnement, mais aussi dégout, je me tournai de l’autre côté, vers Mme. Dolin. Son bras se trouvait en dessous la table et ses yeux étaient remplit de malice. Sa main s’agitait aux abords de mon sexe. De légères secousses dans mon caleçon, tout cela m’excité.
« Que faites-vous, madame ?
-Si tu m’autorises à participer, je veux bien que tu fasses des cochonneries pendant mon cours.
-Mais vous êtes ma professeure d’espagnol, nous ne pouvons pas.
-Ce ne sont que des gestes innocents.
-Pas si innocents que ça.
-Tu sais, j’ai peut-être presque 50 ans mais je suis encore en forme… »
Une bosse nette se formait et Mme. Dolin empoignait mon sexe à travers le tissu de mon jean. Ses mains étaient agiles et ses doigts effleuraient le bout de ma verge. D’un regard, je balayais la salle, mais personne ne se doutait de ce qui se tramait dans mon coin. La sonnerie d’interclasse retentit mais nous ne sortons pas, nous ne sommes qu’au milieu du film. La femme mûre assise à mes côtés continue toujours ses caresses. Mon sexe est tendu au maximum et aimerait bien être libéré de la pression du sous-vêtement. C’est alors que Mme. Dolin, d’une seule main, déboutonne, un par un, mon jean. Inès ne s’est pas encore rendu compte des attouchements de notre professeure. Mme. Dolin baisse progressivement mon caleçon. Puis libère totalement ma verge turgescente. Elle l’empoigne de sa main chaude et, rapidement, un léger filet de semence lubrifie quelque-peu mon frein. Je ressens une certaine expérience. Elle me décalotte avec soin et entreprend une masturbation lente et excitante. Elle se sert de son autre main pour masser, malaxer mes testicules.
« Huuuuuumm…
-Moins fort chéri, on risquerait de t’entendre. Je te félicite, tu es très bien monté.
-Merci, madame, vous me soulagez.
-C’est bien le but. »
Elle accélère le va-et-vient tout en prenant soin de rester discrète. D’ailleurs, Inès s’est tournée furtivement vers moi sans rien remarquer. Je sens l’éjaculation arriver, alors Mme. Dolin redouble de vitesse. J’arrose sa main expérimentée de mon abondante semence blanche. Elle sort un mouchoir en tissu de sa poche et s’essuie soigneusement. C’est elle qui réajuste mon caleçon et mon jean. Elle se lève et rejoint son bureau, comme si de rien n’était. Je suis encore troublée par ce qui vient de se passer. Il reste 10 minutes avant la fin du film.
La musique du générique retentit, les rideaux sont ouverts et la pièce retrouve toute sa luminosité naturelle. Mme. Dolin nous autorise à quitter le cours en avance. Je sors tranquillement de la classe au près d’Inès quand notre professeure m’interpelle.
« Xavier, j’aimerais te parler. J’en ai assez que tu ne fasses rien, sinon t’amuser, pendant mes cours. A tout à l’heure, Inès. »
Je me doute que ce n’est pas la vraie raison et je me fais une joie de rester. Même si je préférais Mme. Dolin dans l’obscurité ; elle est moins excitante au grand jour. Elle referme la porte avec précipitation, mais ne la ferme pas à clef.
« Prend une chaise, ça risque de prendre un petit moment. »
Je suis étonné, il semblerait qu’il ne s’est jamais rien passait. Son ton n’est plus le même. Je m’assois face à son bureau. Elle se lève, s’approche du porte-manteau. Elle retire son haut, un pull épais de laine noire, puis son pantalon de toile, qui laisse apparaître de belles jambes et des cuisses quasiment parfaites. Je remarque qu’elle cache bien son jeu. À 50 ans… Elle se rapproche de moi, se pose sur le rebord du bureau. J’ai le visage à 15 centimètres de son entre-jambe.
« C’est à ton tour de me faire plaisir.
-Mais, je ne peux pas. Nous sommes allés trop loin.
-Arrêtes tes bêtises, nous en avons envie tous les deux. »
Hésitant, je n’ose pas faire le moindre geste. Alors elle attrape mes mains et les pose sur ses cuisses. Mes mouvements sont encore fébriles mais elle me force à être plus entreprenant. Je passe une de mes mains sur sa culotte légèrement trempée. Je la caresse à travers le tissu et je devine un large vagin aux lèvres accueillantes. Je retire délicatement la culotte. Cette fois-ci, le tissu ne protège plus l’intimité de Mme. Dolin et mes doigts sont en contact direct avec sa chatte mouillée. Je la prie d’écarter plus amplement ses cuisses pour que je puisse vaquer à mes occupations plus librement. Je place mon visage devant le sésame et le titille avec le bout de ma langue. J’entends ses premiers gémissements : Mme. Dolin est d’une sensibilité évidente. J’enfouis ensuite totalement mon visage pour, littéralement, bouffé sa chatte. Terriblement excitée, Mme. Dolin attrape mes cheveux et les tire d’une force déconcertante. Malgré son âge avancé, elle a conservé un sexe appétissant. Je triture son précieux, je déforme ses lèvres, je suis excitée à l’idée de faire jouir ma prof. Elle me prévient, elle va bientôt jouir. En un temps éclair, je suis inondé de semence féminine. C’est alors qu’elle prend le même mouchoir que pour mon éjaculation pour nettoyer tendrement mon visage. Nos semences mélangées. Elle s’allonge sur son bureau, porte le mouchoir en tissu près d’elle et inhale les odeurs, les parfums de nos semences.
J’ai besoin d’aller encore plus loin avec elle. Je grimpe à mon tour sur le bureau. Je l’embrasse vigoureusement tout en la caressant. Je passe ma main sous son haut gris à la recherche de ses seins. Pour me faciliter la tâche, je la déshabille entièrement. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont volumineux, un peu tombants, mais encore assez fermes et élastiques. Je pose mes mains sur ses deux énormes masses de chairs, les soupèsent de mains aguerries. Je suce ses pointes brunes. Je suis comme un enfant qui découvre un super jouet.
Tout d’un coup, quelqu’un frappe à la porte de la classe. Surpris tous les deux, nous stoppons nos gestes et nous regardons avec crainte. De nouveaux coups. La poignet est actionné, la porte s’ouvre progressivement. C’est Inès. Elle nous regarde, incrédule, avec stupeur. Elle porte sa main devant sa bouche. Moi sur la poitrine de Mme. Dolin totalement nue.
« Ne reste pas là, sans rien faire, Inès. Viens donc nous rejoindre.
-Je te cherchai, Xavier.
-Ce n’est pas ce que tu crois.
-C’est quoi alors ? Tu baises une femme, notre prof, de 50 ans. Tu me dégoutes. »
Elle se précipite dans les couloirs, je suis foutu. Ma réputation est foutue.

Pour évacuer ma rage, je baiserai, je sodomiserai comme une brute Mme. Dolin, ma prof d’espagnol.

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